En collaboration avec A-CORROS, Ipso Facto Scop, le Centre Camille Jullian et l’équipe du musée, Henri Bernard-Maugiron, restaurateur et Christophe Terpent, photographe, ont établi un constat d’état de l’épave et effectué son dépoussiérage complet.
En effet, depuis sa restauration en 2014, ARC-Nucléart assure un suivi régulier du chaland afin de contrôler son évolution et garantir la bonne conservation de ce joyau du patrimoine archéologique.
